Trois univers entre ciel et terre à la Patinoire Royale Bach
Jean-Marie Wynants écrit dans Le Soir sur les trois expositions en cours: Lita Albuquerque Early Works, Renaud Auguste-Dormeuil, La réalité n'a pas besoin de moi, et Guerre Celeste par Marie-Luce Nadal.
Il fallait bien l'immense espace de la Patinoire royale pour présenter, pour la première fois en Europe, une série d'œuvres de l'artiste américaine Lita Albuquerque. Artiste pluridisciplinaire, celle-ci s'est surtout fait connaître, dès les années 70, avec une série d'œuvres éphémères dans l'esprit des mouvements Light and Space et Land Art.
Il ne faut pas manquer de faire un tour dans la petite galerie à l'étage supérieur pour y découvrir le travail de Marie-Luce Nadal. De l'arbalète permettant d'envoyer une sorte de bombe artisanale dans les nuages pour provoquer la pluie à un calendrier des tendances nuageuses, elle mêle réalisme paysan et poésie dans un parcours rassemblant textes, installations, dessins, vidéo... Avec en point d'orgue, d'étonnants cubes de verre enfermant un peu de terre et de délicats condensés de nuages.
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