Dans le magazine BeauxArts, Maïlys Celeux-Lanval écrit sur l’exposition d’Alfredo Jaar à la galerie La Fin du Monde.
Il y a travaillé cinq ans. Investi du temps, de l’argent, de la sueur et une énergie extraordinaire pour trouver chacun des dix matériaux de la sculpture finale. Pourtant celle-ci est minuscule, et prend la forme d’un cube de quatre centimètres de hauteur…
Exposée – seule, absolument seule – sur un socle au beau milieu des 1 000 mètres carrés de la gigantesque galerie Valérie Bach à Bruxelles (une ancienne patinoire), La Fin du monde d’Alfredo Jaar (né en 1956) est probablement l’œuvre la plus impressionnante que vous verrez ces temps-ci dans la capitale belge.
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