Dans Le Soir, Jean-Marie Wynants écrit sur Lebohang Kganye.
Les habitués de la Patinoire royale sont un peu perdus en arrivant sur place. Au lieu de la vue directe sur la vaste salle centrale, on découvre que toutes les portes vitrées ont été entièrement occultées (y compris à l’étage). C’est que l’univers de Lebohang Kganye n’est pas juste constitué d’œuvres soigneusement accrochées les unes à côté des autres. Utilisant la photographie, le film, la sculpture, le tissage, l’artiste sud-africaine nous invite à pénétrer dans son monde. Baignant dans la pénombre, celui-ci est composé, pour sa première exposition personnelle à la galerie, de quatre séries récentes.
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